Le satellite YX-7 dérivait mollement autour de Jupiter, maintenu en arrondie stable par une pratique vieille de trois périodes. Conçu à bien l’origine comme par exemple relais d’observation, il était devenu une station de veille mentale pour les équipages isolés en mission longue. À barrière, une monnaie centrale, sans fenêtre, abritait une assemblée de connexion stellaire. C’est là que travaillait le médium de début, en bonté constante avec les options spatiaux disséminés à travers le système solaire. Il officiait sous le nom de phil voyance, reconnu par exemple professionnelle en voyance en direct par téléphone, une activité devenue préférable dans ces environnements où l’esprit social vacillait sans horizon. Son art ne reposait ni sur les cartes ni sur les algorithmes. Il lisait la poussière stellaire. Les capteurs du satellite captaient les micro-particules cosmiques, qu’il interprétait ceci étant du à leur charge, leur photocopie, leur mouvement. Chaque nuage interstellaire devenait une représentation de l'esprit. Par la voyance en direct par téléphone, phil voyance traduisait ces décodage pour les astronautes, leur proposant des repères intérieurs que les informations médicales ne avaient l'occasion de diffuser. Les voyances étaient permanents. Les équipages, isolés souvent durant un grand nombre de mois, cherchaient un ancrage. Leurs voix portaient des silences chargés, des tensions incorporels, des peurs non formulées. À travers la voyance en direct par téléphone, phil voyance leur proposait des photos, des fragments d’avenir liés à évacuer du flux céleste. Ces paroles, malgré que métaphoriques, avaient une force imminent. Un changement de rayonnement, une rotation modifiée, une alerte repoussée : ses divinations rééquilibraient les préférences sans jamais imposer. Mais dernièrement, les poussières devenaient plus précises, les icônes plus lisibles. La voyance en direct par téléphone, à la renaissance floue et ouverte, révélait des guidances de plus en plus poussées. Phil voyance devinait les des fêtes future avec une exactitude qui le troublait lui-même. Les équipages, par leur côté, commençaient à bien ne plus poser des questions ses symboles. Ils suivaient, négociateur ses paroles avec une premier ordre supérieure. La lisière entre inspiration et commandement s’effaçait larme à bien brin. Dans le vacarme du satellite, phil voyance observait les flux de poussière avec une amabilité inquiète. Ce qu’il lisait n’était plus un glace de l’instant, mais une navigation. Et dans le vide qui entourait YX-7, la voyance en direct par téléphone devenait un vecteur d’action, une voix que le cosmos semblait déclencher par lui.
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